Lettre à Monsieur Perret

Aujourd’hui, je suis cloué (façon de parler) au canapé sous une grosse couverture et emmitouflé comme saint Georges dans une pièce à 25⁰, frappé par une fièvre de girafe (il n’y a pas de raison que ce soit toujours le cheval qui trinque). C’est bien moi ça, je ne suis pratiquement  jamais malade, et me voilà atteint par une attaque rhinopharyngique en plein été. Oui, je ne sais pas comment c’est chez vous, mais chez moi, l’été s’est installé depuis quelques jours avec tout de suite des grosses chaleurs…
Comme je me soigne à coup de grogs, c’est peut-être un désir inconscient de me saouler sans en avoir l’air.
Bref, je ne suis pas aller randonner comme à mon habitude le vendredi, et je suis resté sagement au chaud.
Par voie de conséquence, j’ai été un peu, et même beaucoup traîner sur les réseaux sociaux, et principalement facebook, où je me suis amusé à tester une astuce.
Comme mes publications sont le plus souvent invisibilisées par les algorithmes de Monsieur Z, si j’en crois le nombre de réactions qu’elles suscitent, j’ai repris cette astuce pratiquée par un ami qui consiste à publier une photo de chat, (monsieur Z aime beaucoup les chats) et faire ma publication ou partager un lien dans les commentaires.
Figurez-vous que ça a l’air de bien fonctionner.
Ce propos liminaire prenant des proportions imprévues, – la fièvre n’arrange rien, (le rhum non plus) -, je vais essayer d’écrire ce sur quoi je voulais m’exprimer.
J’en viens donc au sujet dont , à propos duquel j’ai décidé de faire un article.

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