Je vous en ai touché deux mots dans les digressions de mon récent article sur la fin du monde, le single « Penny Lane » a été enregistré il y a juste 50 ans à quelques poils près.
Pour changer de la version originale, en voici une reprise interprétée par Elvis Costello devant son créateur, Sir Paul himself, assis aux côtés de l’ancien locataire de la Maison Blanche:
https://www.youtube.com/watch?v=Vt2avSmYMs0
1967 donc. La petite Penelope Clarke grandit dans le royaume de la gracieuse Elisabeth et chantonne ce refrain entêtant « Penny Lane is in my ears and in my eyes… » cette chanson qui évoque un quartier de Liverpool sonne doux à ses oreilles car Penny est le diminutif affectueux de son prénom.
Cette gamine de 10 ans ne rêve pas encore de devenir première dame de France.
Elle ne peut pas imaginer la tourmente politico-judiciaire dans laquelle elle sera plongée un demi-siècle plus tard.
Pour célébrer le cinquantenaire de cette chanson en fanfare, oui oui, il y a de la trompette, je vous offre cette reprise.
Etant piètre chanteur et mauvais musicien, malgré les heures passées à astiquer le manche de ma guitare, je vous propose un genre de karaoké slammé.
Cet hommage aux Beatles se double d’un hommage au Canard enchaîné pour ses révélations sur le Penelopegate.
Merci aux dessinateurs à qui j’ai emprunté les dessins et aux photographes dont j’ai reproduit les photos dans cette vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=hp3GWf7AyQg&feature=youtu.be
©Pierre Grandmonde 01/02/2017
ps : en 1968 les Beatles enregistraient « Revolution » je pense qu’en 2018 on devrait fêter dignement ce cinquantième anniversaire…
Il est temps de la faire
le petit monde de Pierre 
Bravo Pierre
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